Avec la mondialisation, tout change ! Une nouvelle ère de liberté, que ce soit pour les hommes autant que pour les animaux. Aujourd’hui, on parle d’un débat sur l’élevage sans cage. Mais qu’est-ce que c’est donc ? Et pourquoi débattre autant sur ce sujet ? Peut-être parce que les cages font forme de prison. Depuis l’année 2018, la France se bat pour élever des poules sans cage. D’ailleurs, ce sujet était l’un des sujets préconisés par Emmanuel Macron lors de sa candidature en 2017 à la présidence. La Loi Egalim prévoit cette interdiction de l’
élevage en cage, de poule, qui a été votée à l’unanimité par les députés en 2018. Et pourquoi pas une interdiction totale de ce mode de production en cage ?
La teneur de la loi alimentation d’octobre 2018 : interdiction d’élevage en cage
Déjà mise en place depuis des années en Allemagne, cette loi n’est plus d’une grande nouveauté. Étant la promesse d’Emmanuel Macron en 2017, cette loi prévoit de fournir aux consommateurs, une alimentation saine, de qualité et durable. Avec plus de 60 articles, cette loi vise l’interdiction de l’élevage en cage surtout ce qui concerne les poules afin d’avoir des « vrais œufs » de poule. Cette cause est soutenue par plus de 90 % des Français et est une loi récemment ouverte en France. L’intérêt de cette loi est de protéger les consommateurs tout autant que le bien-être des animaux. À part les poules, il y a les bovins, les porcins, les chèvres et moutons…
Les cages : un environnement inacceptable
Les cages sont comparables à la prison. Une vie en cage c’est une vie contrôlée, sans liberté, donc source de stress et aucun épanouissement. Un animal tout autant qu’un être humain a besoin de la nature, de l’air frais donc d’une liberté. La loi sur l’interdiction de l’élevage en cage prime une liberté des animaux. Certes, 69 % des poules sont encore élevées an cage actuellement. Mais la fin d’un tel abattoir peut être envisageable. Enfin, on pourrait avoir un premier gâteau qui ne nécessite pas de tuer les poules. En 2022, les œufs doivent être issus d’un élevage en plein air.
Législation à modalités d’application insatisfaisantes
Face à cette législation, la définition du bien-être animal fait réagir les consommateurs français. Une grosse polémique relève de l’article 68 de cette loi sur l’interdiction de l’élevage en cage. Le Ministère de l’agriculture semble faire marche arrière sur les points de cette interdiction. Il y a une mésentente sur les réaménagements de bâtiments d’élevage en cage, qui pose problème comme un ralentissement de la loi. Selon la loi et le Ministère de l’agriculture, le réaménagement des bâtiments fait augmenter la production. Ce fait entraine une autorisation de rénover en quelque sorte l’
élevage en cage. Un fait qui va à l’encontre de la loi.